Sans aucun doute l'un des itinéraires d'alpinisme les plus grands et les plus classiques de l'impressionnante Sierra de Guadarrama..
Sortie du parking de Puerto de la Maorcuera (1.796 m) Nous trouvons immédiatement une barrière d'accès à une piste forestière à côté d'un panneau annonçant la vallée du Paular..

Une fois sur la colline de Najarra, d'où les vues sont spectaculaires sur la vallée de Paular et sur Madrid, Nous devons suivre la crête en direction ouest qui nous mènera de sommet en sommet jusqu'au Puerto de Navacerrada..
Le deuxième sommet est Loma de Bailanderos (2.133 m) d'où les vues sont également vraiment spectaculaires sur La Pedriza, la vallée de Paular et le massif de Peñalara. Le troisième des sommets est Asómate de Hoyos (2.242 m), Il sert de jonction entre la crête qui s'élève au sud de La Pedriza et la Cuerda Larga.. Au cours de la prochaine période d'environ 3 kilomètres, dans le soi-disant Collado de las Zorras, La pente s'adoucit après l'ascension des trois premiers sommets. La quatrième des montagnes est la Loma de Pandasco (2244 m), Le profil de ce sommet est très peu marquant donc il passe assez inaperçu.
Après Loma de Pandasco nous arriverons à Peña Vaqueros, point médian du parcours et halte quasi obligatoire avant d'affronter la montée la plus dure de la marche, puisque notre prochain sommet est Cabeza de Hierro Mayor.

Les cinquième et sixième sommets seront les Iron Heads, D'abord le majeur (2382 m), le plus élevé de tous ceux qui composent cette gamme puis le Mineur (2370 m). En hiver, ces deux sommets restent enneigés pratiquement de décembre à avril., Mais s'il n'y a pas de neige, c'est un véritable endroit rocailleux qui a ses miettes à soulever. (Ils peuvent être entourés de leur face sud). Après la descente raide de Cabeza de Hierro Menor vers le col de Valdemartín nous approchons du septième et avant-dernier des sommets., la hauteur de Valdemartin (2280 m) Sur son versant nord, vous trouverez les pistes de la station Valdesquí.. Après une autre descente raide, nous arrivons à la colline de Guarramillas, nous atteignons enfin la dernière des montées de tout le parcours., la montée au huitième sommet, le bal du monde (2.265 m). Ce n'est pas une montée particulièrement longue et difficile, mais si cela peut nous coûter cher après la majeure partie de 15 kilomètres de casse-jambes accumulés que nous transportons.